Le Salon du Livre 2019 – Retour sur une journée dense !

Cette année, je me suis relancée à la conquête du Salon du Livre de Paris.

Après une première expérience l’an dernier (principalement centrée sur l’univers du jeu Is It Love et des romans qui s’y rapportent), j’avais envie de revivre l’aventure, mais surtout d’avoir l’occasion de pouvoir rencontrer certaines des auteurs qui ont marqué mes derniers mois de lecture. 

Après une première partie de voyage tranquille, et une seconde partie qui a fait flamber mon stress-o-mètre (mes nerfs ont été malmené :) ), je suis enfin arrivée sur place. En un an, les souvenirs ne se sont pas estompés, et j’ai très vite retrouvé mes marques (lâchez-moi dans ce genre d’endroit, et je suis un véritable chien pisteur !). Première étape : le stand de Juno Publishing France, et une rencontre avec Eva Justine. « Otoko Geisha » et « Kitsune » ont été de très belles découvertes, et j’ai pu échanger avec l’auteur. Charmante et disponible, j’ai savouré cette rencontre et j’attends avec impatience son prochain ouvrage sur le Japon.

Une fois que je l’ai quitté, il m’a suffi de faire demi-tour. Car derrière moi se trouvait le Graal de ma journée, le stand de Black Ink. C’est simple, j’aurais pu camper devant, vu que la quasi-totalité des auteurs que je voulais voir y étaient. Et ça a aussi été le point de repère pour que les miss que je devais revoir me retrouvent dans ce dédale !

La première à passer sur le grill fut Angel Arekin. Déjà rencontrée l’an dernier au Salon, ce fut un plaisir de la revoir, surtout que la configuration du stand permettait de bien pouvoir discuter. En plus, ce fut l’occasion de récupérer « The Missing Obsession », LE Livre que j’attendais plus que tout !

Après, petite attente le temps du changement, et j’ai enchaîné avec les dédicaces des trois auteurs suivantes. Tout d’abord, Kalvin Kay, celle qui m’a amené chez Black Ink, avec « Double Appel ». Puis Juliette Pierce et son fameux « Devil in Me ». Il ne manquait que la petite tasse de thé en attendant le Docteur Madsen. Et bien sûr, Chlore Smys, qui m’a offert mon premier gros coup de cœur de 2019 avec « Mixology ». En plus, elle se souvenait de nos échanges sur les réseaux, ce qui était très touchant.

  

Ce qui est sûr, c’est que le Salon du Livre est une vraie course contre la montre !

A peine, je me dirigeais vers l’espace Picnic pour y retrouver le reste de la tribu, que je découvre que la file pour les dédicaces que je visais dans l’après-midi avait déjà commencé au stand d’Hugo Publishing. Hop, on se glisse dans la file et on fait le rappel des troupes. Un Salon, c’est de la patience, et du sport ! 2h30 pour atteindre le but, et surtout pour bien se muscler les bras avec tous les livres que j’avais sur moi. Mais au final, la possibilité de revoir Claire Zamora, créatrice du jeu Is It Love, et Eva de Kerlan, l’auteur du tome sur Matt et de celui à venir sur Ryan. Je ne me suis jamais cachée, je suis ce jeu depuis la sortie du premier opus, donc impossible de passer à côté de ces dédicaces. Et c’est toujours un réel plaisir d’échanger avec Claire Zamora. Petit point négatif, je suis passée à côté des dédicaces de Lia Rose (mais bon, je me rattraperai au Festival du Roman Féminin !).

 

Une fois mes dédicaces en poche, et le dernier volume d’International Guy dans mon sac, retour au stand Black Ink pour pouvoir rencontrer Manon Donaldson, qui a traversé l’Atlantique pour venir nous rencontrer ! Le charme du Québec à l’état pur, elle était aussi chaleureuse que les hivers là-bas peuvent être froid ;)

Et c’est sur cette dernière rencontre que mon périple au Salon du Livre s’est achevé. Après un dernier petit verre avec la tribu, retour au bercail.

Cette deuxième expérience a été toute aussi intense que la première, mais d’une autre manière. Ce fut un plaisir de rencontrer les personnes qui se cachent derrière tous ces romans, et de les voir si disponible et à l’écoute de leurs lectrices. Je suis rentrée fatiguée, mais heureuse de ma journée (bon, les courbatures se sont installées pour quelques jours :p ). Et ça ne donne qu’une envie, y retourner pour la prochaine édition !