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Sous ma plume
17 décembre 2018

Ravage (Les Ecorchés #3) – Tillie Cole

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Résumé :

Dans son enfance, Zoya Kostava a échappé de peu à l’assaut qui a tué toute sa famille. Désormais âgée de vingt-cinq ans, elle vit dans le secret jusqu’au jour où elle apprend que son frère a survécu lui aussi... et qu’il vit désormais avec leur pire ennemi, le parrain de la Bratva russe.

Zoya risque sa sécurité et son anonymat pour retrouver ce frère qu’elle croyait mort, mais elle se fait capturer par un homme aussi beau que brutal. Un homme qui la captive et la terrorise à la fois. En lui, elle devine une âme aussi perdue que la sienne. Parviendront-ils à se sauver mutuellement... et à survivre ?

 

Ce que j’en ai pensé :

Ce tome-là est celui que j’ai le moins apprécié de la série.

La plume de Tillie Cole est toujours aussi addictive, on veut connaître la suite, mais j’ai eu beaucoup de mal à réellement accrocher à ce tome, et à ses personnages.

La mort de Jakuar, le tortionnaire de Zaal, n’est pas restée sans conséquences. La maîtresse de ce dernier veut se venger de ceux qui ont tué son amant. Pour cela, elle utilise 194, le parfait tueur, qui porte sur sa peau le nom de ses victimes. Ce qu’elle ignore, c’est que ce dernier n’est pas aussi réceptif à la drogue qu’elle lui injecte. Néanmoins, il lui obéit dans le but de protéger sa sœur, également captive de cette folle.

Alors que 194 est lancé sur la piste de Zaal, il croise la route de Zoya… la sœur de Zaal que tout le monde croit morte ! Il s’en suit un jeu de torture psychologique. Chacun veut protéger son frère ou sa sœur, et c’est à celui qui résistera le plus longtemps.

Dans ce tome, j’ai encore plus eu l’impression que l’héroïne était en proie à un syndrome de Stockholm. Car j’ai franchement du mal à comprendre comment elle en arrive à tomber amoureuse de son tortionnaire.

La motivation de 194, ou Valentin de son prénom, est noble. Il cherche à faire son possible pour sauver sa sœur, et on comprend que la plupart des choses de ce qu’il fait subir à Zoya le sont sous l’emprise de la drogue qu’on lui injecte, mais il y a quand même un truc qui me dérange chez lui.

Une fois encore, en toile de fond, on voit l’évolution des personnages des premiers tomes. C’est un plaisir de recroiser autant Luka (purée, je préfère quand même l’appeler Ruine) que Zaal. On continue à voir leur évolution, à voir comment ils se reconstruisent malgré leurs traumatismes.

Par contre, dans ce tome, les clichés atteignent leur apogée. On a un peu de mal à les mettre de côté, contrairement aux deux premiers tomes. A de nombreux moments, tout paraît presque trop… gros pour être crédible. Alors est-ce parce que j’ai moins accroché au tome que j’ai eu cette impression, mais cela n’empêche pas de profiter de l’histoire et de vouloir connaître tous les détails !

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